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Chroniques d'une mort annoncée

Chroniques d'une mort annoncée
  • Pourquoi une mort annoncée ? Parce qu'on va forcément mourir... Quand ? Aujourd'hui, demain, peut-être tiendrons-nous une semaine... Qui sait ? Oyez, ou plutôt lisez donc ici le récit de cette survie, moi je m'en vais mourir sous ma tente
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11 août 2010

Une loooongue absence

Combien... hum, largement plus de 6 mois.

Ca commence à faire, il était temps que je me dérouille. Me voici donc fraichement débarqué dans un petit village moisi répondant au doux nom de "Tertres du vent fou".

Reprenons donc ce récit de façon chronologique.

- 8h20, je me réveille la bouche pâteuse, je regarde autour de moi, c'est toujours le même schéma, de pauvres hères qui errent dans un trou à rat.
Ni une ni eux, je monte ma tente, j'ai besoin d'un peu d'intimité bordel. sous ma couche, j'ai la joie de découvrir ce qu'on m'a laissé. Une boite d'allumettes… Mouais, on a déjà rêvé mieux. Pour le moment je ne sais pas trop ce que je vais pouvoir en faire… Sinon, la classique côtelette malodorante, boarf, ça me servira plus tard. Je préfère quand même le garder sur moi, je n'ai encore confiance en personne.

- 8h25, je sors de ce qui me sert d'abri et observe la ville. Pour l'instant nous ne sommes que trois, je les observe du coin de l'œil, ils ont intérêt à se tenir à carreau les 2 autres zigs ! Victor du 30 et Melo666, tu parles de noms originaux. Hem...

- 8h30, je monte sur la palissade observer les environs, et je vois déjà arriver d'autres âmes perdues venues mourir en paix (sic) avec nous. Ça y est, nous sommes 6, il semblerait qu'un héros nous ait rejoint, mais, pas pressé de choisir son métier le bougre, je l'entends ruminer dans sa tente !


- 8h40, le soleil commence à taper, je pars me reposer dans mon lit car c'est pas tout mais je tiens à être en forme.


- 12h35, gné... J'émerge difficilement. Allez il faut peut-être sortir, on va me traiter de glandeur sinon. Armé de... ben de rien en fait, je me glisse discrètement par la grande porte, aux aguets à chaque pas que je fais. hum, je ne préfère pas trop m'éloigner pour ce premier jour, on ne sais jamais. A quelques mètres à l'ouest de la ville, je commence à creuser. Enfin s'il y a quelque chose à creuser, on ne m'a pas laissé grand chose par ici, un morceau de ferraille tout rouillé et une vieille souche moisie.


- 16h28, Putain il fait chaud là dessous.


-18h55, il est temps de rentrer, j'ai les poches pleines, et ça ne sert plus à grand chose de creuser.

De retour, je balance mes affaires dans la banque, j'en profite pour déposer ma gourde d'eau que je n'ai pas consommé. Elle servira à quelqu'un d'autre.

Les chantiers ont peu avancé. La tour de guet, c'est allé assez vite pour elle, sinon, on attend l'atelier, mais les ressources trainent à arriver.

Patience, patience, tout vient à point à qui sait attendre.


- On se retrouve plus tard ^^

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31 mars 2010

Mais où va-t-on ?

    Qu'attendre d'une ville sans héros?

    Franchement pas grand chose, on va forcément dans le mur. Oh, il est possible de retarder l'échéance un maximum, mais en aucun on ne peut espérer atteindre dix jours de survie.

   

Bref, voilà, je me suis promené dans le désert et comme un bleu j'ai été surpris... Je fouillais tranquillement derrière un arbre et je ne les ai pas entendu arriver. Ils n'étaient que trois. Vous allez me dire, c'est pas grand chose franchement, il aurait pu s'enfuir. Oui, mais je n'ai pas la trempe d'un gardien moi. Trois goules et c'est déjà beaucoup.
    Mort de trouille, je me suis réfugié dans l'arbre et j'ai attendu. Personne n'est passé, mais ça je m'en doutais, j'ai même pas pris la peine de gueuler en direction de la ville (si on peut appeler ça une ville). j'avais quand même en poche une toile déchirée, je me suis couvert et j'ai patienté.
    Je sais comment cela finira, j'aurais beau lutter, je vais m'endormir perché sur ma branche, perdre l'équilibre et me ramasser comme une merde par terre. Là, j'aurais à peine le temps de me lever que les trois morts-vivants me sauteront dessus...

    Telle sera ma fin pour cette ville.

25 mars 2010

Wah l'autre hé

Quoi ?
    Il est pas encore crevé... Pff va falloir le supporter encore combien de temps. Oui je parle de tutute50, l'autre, le Moarf a rejoint les morts-vivants dans leur macabre danse. Oh non, il n'est pas tout seul à être repartis. En fait ils sont cinq pauvres pelots, le Moarf donc, et quatre autres illustres inconnus qui n'ont pas dit un mot, c'est à peine si on les a vus de la journée d'hier. Tant pis pour eux, j'irais pas chialer sur leur dépouille.

    Alors que disais-je avant que je ne m'auto-interrompe. Ah oui, tutute50 il a profité de l'inattention générale pour chopper
une planche tordue et deux trois babioles afin de monter son taudis en baraque. Bon, ça sera sans doute la dernière fois qu'il nous fera chier ainsi. Oui, ce blaireau s'est coincé à une case de la ville. Enfin c'est ce qu'il nous dit. A tous les coups c'est une ruse pour qu'on lui emmène une drogue ou un alcool.

    Enfin, malgré cela on avance dans les chantiers, plus ou moins vite (ouais, on n'a pas la scie, c'est galère) il faudra tout de même penser à se lancer dans la manufacture, ça fait depuis hier que je le dit, j'ai l'impression de parler dans le vide là. Si c'est comme ça, je vais aller pioncer dans ma tente. Vous me réveillerez si vous pendez l'autre !

24 mars 2010

Les Buttes du vent fou

    Quel nom débile... Mais c'est ça que j'aime. Haha !

    Allez, j'ai décidé de me lancer dans une ville tout seul, pas que mes compères m'enquiquinent, mais là ils sont partis à trois dans une ville. Je n'étais pas réveillé ce matin là, donc ils sont partis en douce. Qu'à cela ne tienne, je vais moi aussi de mon côté.

    Bon, par où et par quoi commencer ? Nous sommes quarante (oui, logique me direz vous) Par contre, les héros ne se bousculent pas à la Grande Porte, il y en a pour ainsi dire pas un seul. Oh, c'est pas forcément trop grave, on va prouver qu'on faire une ville sympathique sans Héros.
    Parmi mes trente neuf concitoyens, on en a déjà deux qui en tiennent une belle couche. Et oui, à peine une journée et déjà bannis ! Le premier, ça a été assez marrant, c'est notre ami Survivant054 qui nous a prévenu, je l'ai vu placarder un petit mot sur le tableau noir, il disait grosso modo qu'il fallait bannir Moarf le plus rapidement possible, au motif qu'il avait déjà pourrit une ville précédente où ils se trouvaient ensemble. C'est un peu léger comme motif je trouve, mais moi, ça me suffit pour lui poser une première plainte. Première plainte que je n'ai pas eu à regretter, car en rentrant chez moi, je suis passé devant chez lui, et ben, ce Moarf a déjà monté un taudis. Il n'a pas fait long feu, le ban est arrivé quelques instants plus tard.

    Suite à cet épisode, je suis parti me reposer sous ma tente. En ressortant, vers dix-neuf heures, j'ai entendu un braillard hurler à tue-tête qu'on allait de toutes façons tous mourir ce soir et qu'il fallait faire le taudis immédiatement. Le geste a suivi la parole, mais malheureusement Tutute50 qui a dû se casser la voix a été le seul à le faire. Nous, on a pas apprécié et on l'a banni, c'était assez drôle ! Surtout quand DonRomano a lâché le gros chat mignon mignon sur lui. Il a détalé comme un zombie qui se rend compte qu'il est minuit trente et qu'il doit rentrer sinon bobonne va gueuler.

    Allez, je vais aller faire un tour dehors voir si je peux déterrer deux ou trois saletés qui pourraient servir.

24 mars 2010

Petite mort

    Je n'en ai pas parlé alors que c'est arrivé il y a déjà quelques temps... Je pense que j'en ai un peu honte.

    La camarde m'a emporté, laissant derrière moi un mélange encore chaud de viscères et d'os. Je ne m'expliques toujours pas comment cela a pu arriver... C'est vrai quoi ! Je dormais tranquillement, mes compères étaient dans la même situation que moi, et non ! Il a fallu que ce soit moi qui trinque. Heureusement je n'étais pas seul à partir ce soir là. (en plus j'avais construit un taudis).

    Bref, il est temps pour moi de repartir du bon pied, je vais me lancer dans une nouvelle ville d'ici peu.

    Allez, Hasta la vista !

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11 mars 2010

Un fantôme !

    J'ai croisé un mec hier. Je ne l'avais jamais vu. Pourtant ça fait quand même dix-huit jours qu'on est là, bizarre que personne ne l'avais encore remarqué.

 

    Je l'ai croisé hier, il sortait de derrière la tente de Quechot, allez savoir ce qu'il y faisait, quoique à l'odeur nauséabonde, je pense qu'on peut deviner facilement. Il marchait rapidement, le dos courbé, en jetant des coups d'œil à droite à gauche, c'est là que nos regards se sont croisés. Il s'est subitement arrêté, comme paralysé par la peur, j'ai vu son visage se décomposer, ses pupilles se dilater. Il est resté bien trente secondes ainsi, sans bouger, il semblait réfléchir à toute vitesse. Puis d'un coup, il a déguerpit ! A toute vitesse, toujours courbé, il était alors plus proche du fauve que de l'humain. Il a couru aussi vite qu'il pouvait, traversant le potager et arrachant au passage plusieurs jeunes pousses de légume. Il a ensuite disparu dans une allée, et je ne l'ai plus revu.
    Encore éberlué par cette découverte, rendez-vous compte ! Un nouvel habitant qui débarque de nulle part. je me suis donc empressé de raconter ça aux autres, mais hier, personne n'avait entendu parler de lui.

 

    Ce matin par contre, pendant le petit déjeuner, Diji nous a dit l'avoir aperçu (sa tente est proche de la sienne) et que quand il est allé au chantier tôt, il a pût voir quelques planches montées en plus sur le lance-tôles qui n'étaient pas là quinze minutes auparavant. Il pense qu'il reste caché espérant qu'ainsi les zombies oublieront sa présence. Peut-être fait-il bien et et que si nous nous montrions tous un peu plus discret, les zombies passeraient sans nous voir...

 

    Tout à l'heure par contre, Chaufferie a débarqué le visage cramoisi, il a attrapé ce gars en flagrant délit de vol de rations d'eau ! Ce sagouin a profité qu'on était occupé ailleurs pour rafler une quantité monstrueuse de flotte dans le puits. En voyant ça, Chaufferie nous a avoué qu'il a tenté de l'agresser, le malheureux s'en est retourné vite fait dans sa tente. On va statuer plus tard de son cas. Chaufferie crève d'envie de le pendre, après, je sais qu'Haemophilus et Ilanka sont plus réservés. On va voir, on va débattre (ou pas).

 

    Allez, rendez vous dans... Je sais pas quand, pour l'instant je suis dehors avec l'ami Riri et le marseillais, et on creuse.

9 mars 2010

Dépoussiérage \o/

    Beuheu beuheu beuheu !

 

    herm ! Pardon j'ai avalé une gorgée de "Debout-Les-Morts" de travers...
Beuheu !

 

    Mwarf, c'est bon, ça va mieux. Où en étais-je, ha je n'avais pas encore commencé.
Hem, cette bibine me fait oublier ce que je dis tiens !

 

    Alors, quoi de neuf ? On a lancé le Grand Déménagement, oui, enfin depuis hier déjà, on en est à peine à la moitié, on a intérêt à se booster le cul, si on veut que ça passe d'ici demain. Car oui, demain, ça passe ou ça casse. Ce soir ça va aller tranquillou, mille quatre cent, ça ira, mais demain... Deux mille deux cent ! Mwarf, on en bloque ce soir mille neuf cent. Demain sera décisif.

 

    Dans la ville, je dois sire qu'aujourd'hui je m'y sent bien, j'ai aéré ma tente ce matin très tôt ; oui, le faire dans l'après-midi quand il fait trente six degrés, ça sert à rien. J'ai fait la poussière et j'ai passé le balai, qui n'a de balai que le nom, car trois branches de sapin piochés dans le relais autoroutier accroché à un bâton tordu et reliés par une mue de serpent de deux mètres. Enfin, ça dépoussière, c'est le but. D'ailleurs, j'ai enlevé de sacrés moutons sous le lit, et si vous saviez ce que j'ai trouvé dessous ! Le PMV d'Olvidame, mais je vais le garder, je l'offrirai à Sati quand elle reviendra, héhé. Oh ben oui, y'en a déjà un autre dans la banque, et je suis sûr qu'Olvi l'a déjà utilisé.

 

    Burp... Tiens, ils parlent des prévisions météo demain. Je vous laisse, j'aimerai savoir où il va falloir creuser demain. Oui, je vais partir le matin, à condition que je me lève.

 

    Dodo maintenant.

8 mars 2010

Une fin de week-end mouvementée !

    Un samedi tranquille, qui a démarré et s'est terminé tranquillement, pas grand chose à dire, les chantiers ont avancé comme prévu, et l'attaque n'était au final que de mille et quelques zombies. En bref, une journée sans souci.
   
    C'est le lendemain que cela s'est pour le moins gâté... Comment ? me direz vous. Et bien, un de nos chers concitoyens, en l'occurrence le dénommé Havemercy, a eu la merveilleuse idée d'assembler les armes démontées de la banque et de s'enfuir loin, loin, loin dans le désert pour ne pas avoir à subir notre courroux. Il aurait bien pu s'arrêter là, mais non, il a décidé d'embarquer dans sa galère le pauvre Loued qui n'avait rien demandé à personne.
    Il nous a expliqué dans son message d'adieu que sa chasse aux pictos a eu raison de lui, et qu'obtenir trois pictogrammes de plus pour le montage d'armes était plus fort que tout.
    Oh, mais attendez, ce n'est pas finit, ha ha ! Non, j'ai failli oublier, mais en plus de cela, il a cru bon d'envoyer une viande indéfinissable dans le coffre de Bolchevian. mais, lui malin comme... euh, ben pas grand chose en fait, il a préféré ne pas goûter la viande pensant qu'elle était probablement contaminée (cyanure, pisse de chèvre ou saloperies dans le même genre).
    Voilà, pour résumer, on a eu le droit à un sacré boulet qui nous aura, bon sans trop pourrir la ville dans son ensemble, foutu un beau boxon et une belle frayeur pour Loued.

    Mais cet espèce de raclure de taudis n'a pas eu l'occasion de passer la nuit dans le désert, il est mort de déshydratation avant d'atteindre le coucher du soleil. Un sort à peine plus enviable à celui de se faire dévorer vivant par la meute. Ce sont les charognards qui vont se régaler !

    N'était-ce pas un week-end mouvementé comme je vous l'avais prédit ?
    Oh, si, par contre, aujourd'hui, le huit mars de l'an de grâce deux mille dix, au jour quinze de notre survie, rien à signaler, étant absent toute la journée dans le désert, je ne sais pas trop ce qui s'est passé en ville. Si mes souvenirs sont bons, on devrait se lancer dans le grand déménagement. J'ai hâte de voir où ils en sont les ouvriers...

    Sinon, Riri s'est plaint que son rocking chair a encore disparu. Je ne donne pas cher de la peau du voleur s'il l'attrape. Riri qui est toujours celui qu'on veut passer à la casserole devient pour une fois le chasseur. On attend de voir comment ça va évoluer, oh et pourquoi une petite baston, histoire de voir les fours cancérigènes voler !

    Sur ce, je vous dit bonne nuit et à demain, si on est toujours en vie ^^

5 mars 2010

Une petite ballade ?

    Aujourd'hui, jour 12, il est temps de se dérouiller un peu et d'aller voir du pays. Enfin, pour ce qu'il y a à voir...  Il est déjà onze heures du matin, et Riri a la lourde tâche de nous guider à travers le désert. Oh, nous ne sommes pas très nombreux, seulement cinq, mais parmi nous, trois héros : deux gardien et un fouineur. Je reviendrai sur notre périple un peu plus tard.

    Hier soir, l'attaque a été assez tranquille, on a dénombré, pour ceux qui n'étaient pas cachés sous leurs couvertures, un peu plus de 700 zombies. Ah, oui, Bourpifland me signale qu'ils étaient 716, il a eu le temps de bien les compter. L'attaque ne nous a pas trop fait peur au final, car nos défenses étaient plus que bonnes, on avait de quoi résister à 1208 monstres. Cela grâce à la Fausse Ville finie à temps, on va être tranquille pour au moins 3 jours avec ça. Ça nous permet de pouvoir évoluer la tour de guet et ainsi d'économiser des points d'action chaque jours !
    Les autres chantiers du jour, je ne les connais pas. Etant dehors, je n'ai pas trop vu les consignes. Mais je pense que ce sera plus les chantiers non défensifs, je pencherais plus en faveur du Derrick artisanal.


    Bon, revenons à nos moutons, notre petite excursion se passe plutôt bien, Riri nous a avoué qu'en fait il voulait partir à l'ouest de la ville mais qu'il a confondu... Il est parti à l'est. Attention Riri, on en pendu pour moins que ça, hein ! Je plaisante, on a déjà quelques OD en perspective j'ai déniché un sac de ciment. Après, j'ai pris une arme mais je ne crois pas qu'au final elle nous soit très utile, les zombies ne sont pas assez
nombreux encore.
    Allez, je dois retourner creuser. on essaye d'épuiser la zone et on continue.

4 mars 2010

En ville

Jour 11 déjà...

    Nous sommes toujours 36 en ville, je crois que c'est un record d'être autant après dix journées. C'est une preuve de bonne cohésion de groupe, on reste unis malgré les monstres qui cognent chaque nuit à nos portes.

    Bon, tout n'a pas toujours été rose, en fait on a eu affaire à un citoyen plutôt fourbe qui a cherché à nous pourrir la ville. Son nom ? c'est dur de se souvenir, avec tous le visages qu'on voit... Ah oui, Syrca il me semble, il n'a pas été réglo avec nous, on a fait ce qu'il fallait. Une chaîne, et zou on l'a pendu sur la place publique.
Oh si, il le méritait ! il a volé dans la banque ! Et pas rien non plus, il a agit pendant la nuit, alors que tout le monde dormait ou que les lèves-tôt étaient partis fouiller le désert. Entre trois heures et cinq heures du matin, il a subtilisé pas moins de 18 twinoïdes, 10 stéroïdes et une bouteille d'alcool !
C'était Bolchevian qui n'était pas content, pas tant pour la drogue mais plutôt pour la bouteille d'alcool. Il lorgnait avidement dessus depuis qu'on l'avait ramenée.
    Bref, justice a été rendue, il a été banni puis pendu haut et court dans la journée. Hélas le crémato n'était pas fini de construire, on a du se résoudre à jeter le corps dehors. Enfin, cela faisait un citoyen de moins, pour notre plus grand bonheur !

    Aujourd'hui est une journée somme toute assez calme. l'attaque de ce soir sera du même acabit que celle d'hier, environ 700 zombies si nos calculs sont bons. On devrait passer sans trop de soucis, la Fausse Ville avance, et nous permettra de nous reposer tranquillement quand elle sera terminée.


    Encore une fois, y'en a qui se battent pour zigouiller les animaux. Non, sans violence, rassurez vous, ça se joue au dé de 100. C'est Riri qui gère le jeu, mais je soupçonne quand même un peu de tricherie de la part de certains (non, non, je ne donnerai pas de noms). La preuve, j'ai joué plusieurs fois, et j'ai toujours eu les scores les plus loin possible du score à atteindre... Pour la peine, je laisse tomber. Ils joueront bien sans moi.


    Bon, je dois vous laisser maintenant, je vais faire un tour du côté des chantiers, la fausse ville devrait pas tarder à se finir, je vais monter quelques planches, et ce sera bon. Bonne fin de journée, à demain... J'espère...

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